Journal de la douleur et du soulagement

Réaction à la douleur

La réaction douloureuse s'observe par une dilatation de la pupille ou par tout autre acte involontaire survenant en réponse à un stimulus provoquant une douleur aiguë n'importe où.

Il s’agit d’un long chemin au cours duquel les neurones établissent des connexions à la fois dans le cerveau et dans la moelle épinière. Expliquez ce qui se passe lorsqu'on claque une porte au doigt. Premièrement, les terminaisons nerveuses du doigt détectent la blessure du doigt (neurones sensoriels) et envoient des impulsions le long des axones jusqu'à la moelle épinière (voie magenta). Les axones entrants forment une synapse avec des neurones qui se projettent jusqu'au cerveau. Les neurones qui remontent la moelle épinière forment alors des synapses avec les neurones du thalamus, qui fait partie du mésencéphale (cercle magenta). Le thalamus organise ces informations et les envoie au cortex sensoriel (bleu), qui interprète les informations comme de la douleur et ordonne au cortex moteur voisin (orange) de renvoyer les informations au thalamus (voie verte). Encore une fois, le thalamus organise ces informations entrantes et envoie des signaux le long de la moelle épinière, qui dirigent les motoneurones vers le doigt et d'autres parties du corps pour réagir à la douleur (par exemple, en secouant le doigt ou en criant « aïe ! »).

Certaines des réactions les plus évidentes à la douleur peuvent être observées dans le corps. Les gens se tendent et retiennent leur souffle. Il est courant qu’ils s’agitent et changent constamment de position. Cependant, certaines personnes font le contraire et se figent.